Animal-Assisted Therapy: Domestic Animals Aren’t Merely Pets. To Some, They Can be Healers

Résumé de l’article

2002

La thérapie assistée par l’animal. Les animaux domestiques ne sont pas que familiers. Certains peuvent être des soignants.

Pas d’abstract.
Résumé :

L’animal domestique a un effet sur le moral : il peut être source d’une distraction plaisante. L’animal peut être outil de thérapie physique et psychologique. Pour ce faire, il doit être lui-même en bonne santé. C’est un animal éduqué, obéissant et conditionné à l’interaction.
Beaucoup de bénéfices psychologiques et physiologiques ont été observés à propos des interactions homme/animal. Ils touchent la pression sanguine, le rythme cardiaque, le niveau de stress, le bien-être émotionnel et les capacités à interagir socialement. Cet article entend faire le point sur les bénéfices de la thérapie assistée par l’animal auprès de patients hospitalisés ; il se présente, à certains égards, comme un guide « pour faire » ; il résume certaines recherches en la matière.
Les bénéfices physiologiques ont surtout trait à la relaxation, liée à la pression sanguine et au rythme cardiaque. S’appuyant sur des études à grande échelle, l’utilisation de l’animal aurait des effets plus durables, dans ce cadre, que la méditation par exemple. Du côté physique, l’animal a des vertus dans le cadre, par exemple, des rééducations musculaires de patients traumatisés.
Au niveau émotionnel, on notera des effets bénéfiques sur le fonctionnement social (à partir d’études sur des patients atteints de troubles psychiques), le contrôle des impulsions, les activités… L’animal est aussi utilisé en prison en tant qu’outil de modification des comportements. La vertu thérapeutique du toucher est remarquablement mise en avant pour expliquer les effets de l’animal sur l’humeur humaine : diminution des comportements colériques, de l’hostilité, de la tension, de l’anxiété.
Dans l’utilisation de l’animal, il y a une différence à prendre en compte : la thérapie assistée par l’animal n’est pas la visite par l’animal. La seconde est collective et peut être mise en œuvre par des amateurs ; la première se fait en face à face, sous l’œil de professionnels avec des objectifs de soins clairement fixés.

Observations

Cf Rapport Modys pour la Fondation Sommer

Consultation sur place Centre Documentation