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The dog as co-therapist

Catégorie : Article
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Description

The dog as co-therapist

Résumé de l’article

1962

Le chien comme co-thérapeute.

Pas d’abstract. Traduction d’un paragraphe de conclusion (P65) : «Ce qu’à voulu démontrer l’auteur de cet article c’est que le chien sert d’agent catalyseur, qui aide l’enfant à régresser, à s’accepter lui-même et à progresser, à tâtons, puis de manière plus assurée, sur le chemin de la découverte de soi et de l’auto-guérison (self-healing). »

Résumé :
Dans cet article, Levinson explique les raisons qui l’ont amené à inclure son chien « Jingles » de manière régulière (mais pas systématique) dans les séances de psychothérapie qu’il menait avec des enfants perturbés.
Au départ, c’est le hasard qui fit que des parents furent en avance lors d’un rendez-vous au cabinet de Levinson. C’est ainsi que le jeune patient se trouva nez à nez avec Jingles, qui vint spontanément lui lécher le visage. Levinson, qui n’avait pas prévu cela, a laissé faire ; et Jingles était présent d’une séance sur l’autre : l’enfant extrêmement introverti, noua une relation avec le chien puis laissa peu à peu le thérapeute s’inclure dans celle-ci.

De cette expérience, et des autres qui ont suivi, Levinson conclu que les bénéfices de la présence d’un chien sont nombreux, et finalement, assez « évidents. » Levinson raisonne en terme de « besoins psychologiques » et expliquent, exemples à l’appui, comment le chien peut satisfaire beaucoup de ces besoins, souvent frustrés chez l’enfant perturbé.
Les besoins d’affection inconditionnelle, qu’il s’agisse d’en recevoir ou d’en donner, sont facilement satisfaisables avec un chien. De la même manière : le besoin de ne pas être jugé semble important chez les enfants rencontrés par Levinson. Le thérapeute parle également du besoin de « régression » : il explique que le chien n’a pas de gêne à montrer sa sexualité, son fonctionnement organique (déjections), et que le spectacle de cet animal « décomplexé » d’être une entité biologique, donne l’occasion à l’enfant de se poser lui-même comme tel. De « régresser » dans le sens de redécouvrir les stades de développement par lesquels il est passé pendant la petite enfance. Il est question donc d’accepter son corps. Mais également d’accepter celui des autres : Levinson parle des besoins de contacts physiques des enfants perturbés. Il écrit qu’ils sont nombreux mais limités par la peur des mauvais traitements que l’enfant a pu subir de la part des humains qui l’environnent. Le chien permet de satisfaire les besoins de contacts physiques sécures (sans danger). Et conjointement, la présence du chien permet à l’enfant d’être dans une relation de distance avec le thérapeute ; ce qui est un « bon compromis » : mieux vaut une relation distante, qui respecte ce besoin précis, qu’aucune relation du tout.

Ce ne sont que quelques exemples, nous dit Levinson, de ce que peut apporter un chien en terme de satisfaction des besoins psychologiques.

Levinson témoigne par ailleurs des phénomènes de transfert qui existent entre l’enfant et le chien. Ces transferts prennent globalement deux formes : l’enfant reste lui-même mais fait parler le chien pour exprimer ses propres sentiments : « Jingles a faim ! », « Jingles n’aime pas ça !» Ou bien l’enfant s’ananimalise : il exprime le souhait de devenir un chien, un membre de la famille du thérapeute au même titre que Jingles ; ou alors il se comporte réellement comme le chien.

Levinson explique que ces transferts comme les biais par lesquels l’implication du chien dans la relation thérapeutique peut satisfaire les besoins psychologiques de l’enfant.

En terme méthodologique, Levinson insiste sur le fait que la thérapie incluant le chien n’est pas une méthode généralisable (par exemple, elle ne convient pas aux enfants ayant une forte peur des chiens). Mais il souligne également que cette méthode n’est pas PLUS généralisable qu’une autre. Ainsi, il défend l’idée qu’il n’y a pas une méthode pour tous les patients, mais plusieurs méthodes pour plusieurs patients. Et de donner une vision la psychothérapie assez pragmatique : la bonne thérapie c’est celle qui marche ! Cest-à-dire celle qui bénéficie au patient.

Observations

Cf Rapport Modys pour la Fondation Sommer

Consultation sur place, Centre Documentation

Informations complémentaires

Auteur

Boris Levinson

Périodique

Mental Hygiene

Numéro de volume

46

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